Le Cul dans l’Herbe a soufflé sa première bougie fin avril. Hourra ! Et ce n’est pas sans crâner que je peux vous dire que je suis plutôt fière de ce que j’ai accomplie au cours de ces douze derniers mois.
Lorsqu’on se lance, on nous parle souvent des travers et des dangers de l’entrepreneuriat, on n’oublie par contre de nous parler des aspects gratifiants! Je me sens tellement grandit depuis la naissance du Cul dans l’Herbe ! Aussi bien en tant que femme, mère et professionnelle !
Mon bilan, en quelques chiffres :
- 80. C’est le nombre de familles à être passées par les ateliers découvertes.
- 40. C’est le nombre de famille à avoir loué un kit de location pour tester les couches lavables avant de s’équiper.
- 11. C’est le nombre de kits de locations : et plus précisément 7 kits nouveaux nés et 4 kits évolutifs.
- 4. C’est le nombre de ventes éphémères qui ont permis aux parents de s’équiper en couches lavables d’occasions. Il y en aura de plus en plus. Rien que trois le mois prochain.
- 496. C’est le nombre de like sur la Page Facebook du Cul dans l’Herbe. J’ai mon petit Monk dans la tête qui me dit que quand même j’aurai pu me débrouiller pour en avoir 4 de plus, mais je le gère.
Hum, rien que d’écrire ces lignes, je sens comme ça.
Nouvelle année, nouveaux projets
En ensuite. On en reste là ? Of course not. J’ai genre un milliards d’idées et d’envies qui se bousculent dans ma tête. Certaines verront le jour, d’autres pas. Mais j’ai bien l’intention de mettre les bouchées doubles. La prochaine étape, c’est bien sûr la boutique en ligne, qui verra le jour, j’espère dans quelques semaines. Puis un petit local (suis ouverte à toute proposition, coworking avec d’autres professionnel de la parentalité bienveillante inclus). Un bureau pour recevoir les parents, faire quelques ventes privées et pourquoi pas quelques ateliers. J’aimerai aussi proposer des rencontres autour des règles, un apéro ou organiser une tente rouge, je ne sais pas encore.
La boutique, elle, même si elle reste là, dans l’horizon de mon cœur, je la fais patienter encore un peu. Et vous, vous avez des envies ?
Remerciements
On ne va pas se mentir, cet article, c’est un peu l’équivalent d’un discours. Et je voulais très fort remercier tous ceux et celles qui m’ont aidé à avancer au court de l’année qui vient de s’écouler.
En premier lieu, bien sûr, il y a Jeanne-Aurélie et Marina d’Apinapi qui ont fait de moi cette bête de foire quasi incollable sur le sujet des couches lavables que je suis devenue. Ensuite, il y a Séverine, Thiang et Carole de la BGE de Nantes qui m’ont aidées à poser la première pierre de tout ça. Même si on est bien loin de ce que j’avais imaginé au départ. Johanna et toute l’équipe d’Ô Bocal, à Nantes ont le droit à une mention spéciale car c’est là bas que j’y ai fait mon tout premier atelier. Il y avait 17 personnes et j’étais morte de trac. On a plusieurs fois retravaillé ensemble depuis et à chaque fois, c’était fabuleux. Edwige et Marie du salon de thé librairie, Le Livr’Ô Thé. Elles ont été les premières a accueillir les ateliers de façon régulière. Merci à vous les filles. Viens ensuite Béatrice, des petites Sardines à l’Huile qui accueille les ateliers et qui m’a bien aidé à faire grandir mon réseau.
Nouvelle mention spéciale pour Anne-Cécile. Super partenaire de travail, et maintenant amie qui s’est lancée elle aussi il y a peu avec l’atelier des familles. Mon réseau a explosé grâce à elle la Caverne d’Ali Bambin et c’est grâce à elle que le dépôt-vente de couches lavables à vu le jour. Pour toutes les idées qu’elle m’a donné, merci. Ah oui, elle m’a appris à faire utiliser excel ce qui n’était pas une mince affaire. Je vais lui faire un gâteau !
Je pourrais continuer comme ça encore longtemps, mais il faut quand même que je n’oublie pas Les Eccosolies, qui m’ont permis de participer à l’Autre Marché, Ecopole qui a fait de moi Madame Couche Lavable pour le défi des familles, Claire de Sakaïdé avec qui j’ai plein de plans en tête, Hélène de Habille toi et ses petits Poids, Anaïs du Petit Poids, Séverine, du Ver Luisant, Sandrine du P’tit qu’à fait et Audrey Marin, bien sûr tous les parents qui me font confiance en venant aux ateliers ou en me laissant leurs couches en dépôt-vente.
Allez, dernière triple mention spéciale parce que c’est la plus importante. Merci à mon merveilleux mari et à ma mère – et à mon père qui est venu imperméabiliser mon chalet sur l’Autre Marché alors qu’il pleuvait à torrent – qui sont toujours prêts à m’aider et me soutenir dans cette incroyable aventure qui a envahit (au sens propre et figuré) nos vies.
Et à Lara, ma fille, qui est à l’origine de tout ça, et que j’aime plus que tout.
Merci à tous. Je vous embrasse.